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« Es-tu excitée ? »

« Oui. »

« Effrayée ? »

« Oui, aussi. »

« Tu en as envie ? »

« Oui. »

« Tu vas avoir mal, tu le sais ? »

« Oui. »

« Tu es d’accord ? »

« Oui. »

« Dis-moi-le clairement. Et perds l’habitude de répondre que par un mot, fais des phrases courtes et nettes. »

« D’accord, je parlerais en phrases dorénavant. Et, oui, je suis d’accord pour recevoir la fessée tout à l’heure. »

« Et ? »

« Et ?… désolée, je suis désolée. Que dois-je te répondre à cette dernière question ? »

« Que c’est à ta demande que je te fesse aujourd’hui. Les prochaines fois, c’est moi qui déciderais. Reprends la phrase précédente « à je suis d’accord »… »

« Je suis d’accord pour recevoir une fessée… »

« Une bonne fessée m’interrompit-il. »

« Je suis d’accord pour recevoir une bonne fessée ce soir. »

 

Il a fait durer le repas, en prenant un café, puis un second, puis un digestif. Il m’a expliqué en détail comment il allait m’administrer cette première fessée. Par la suite, il me donnerait des fessées punitives. Quand le serveur est venu poser l’addition devant lui, il m’a regardé dans les yeux et m’a dit :

« Explique-lui ce qui t’attend tout à l’heure. »

 

J’ai de nouveau rougi, j’avais le cœur battant, le serveur attendait patiemment. Alors j’ai lancé à voix basse :

«  Il va me fesser. »

« Répète le plus fort ! »

 

Je me suis exécutée et le serveur a répondu :

«  Monsieur a bien de la chance ! Et il est parti avec la carte bancaire de mon ami, la mine épanouie. »

 

Moi, j’avais honte, je me sentais diminuée. Il l’a remarqué et a souri.

«  Tu as honte, n’est ce pas ? »

 

J’ai fait oui de la tête. Le serveur a rapporté la carte avec le reçu et m’a souhaité :

« Bonne nuit mademoiselle. Amusez vous bien. »

 

Mon ami m’a tendu sa main, j’ai mis la mienne dans la sienne et nous sommes partis ainsi chez lui.

 

Je suis allée dans sa bibliothèque comme il me l’avait demandé, je me suis agenouillée devant le large fauteuil qui se trouvait au milieu de la pièce. Il y avait une table basse devant puis dans un coin, un pouf assez bas et long. Plus un immense bureau et sa chaise à accoudoirs. Les murs étaient plein de rayonnages remplis de livres. L’éclairage y était réglable à volonté. Je me trouvai face à la porte et je l’ai vu entrer nonchalamment.

 

Il s’est assis sur le large fauteuil et m’a demandé de venir à lui à genoux. Il a pris mon visage entre ses mains et m’a regardé droit dans les yeux.

«  Tu es toujours d’accord ? »

« Oui. »

 

Il m’a embrassé délicatement les lèvres et m’a ordonné de me relever. Il m’a pris un bras et m’a fait me pencher sur lui et m’a déséquilibré d’un coup sec. Il m’a administré une première claque puis une deuxième. Je me sentais excitée, je n’avais pas mal. Il m’a demandé ce que je ressentais, je le lui ai dit. La troisième claque a été un peu plus appuyée, puis il m’en a donné encore trois. Là, j’avais un peu mal, mais c’était encore supportable. J’ai commencé à me débattre, il m’a fermement immobilisé. Puis, il a baissé mon pantalon, j’ai dû me tortiller un peu afin de l’aider, c’était assez jouissif, il l’a baissé à mi-cuisses et là il m’a donné une dizaine de coups assez sonores. Je lui ai dit qu’il pouvait y aller plus fort, que mes fesses résistaient encore bien.

 

Il m’a déculotté en prenant bien son temps. Je sentais mes fesses rouges et chaudes, je me sentais humiliée, consentante, c’était plaisant. Puis, il m’a fessé avec un peu plus d’entrain, là j’ai eu mal, je me suis débattue, j’ai fait des grands mouvements avec mes jambes pour me libérer. Mais il m’a maintenu fermement. J’ai crié de douleur sous ses claques. Puis j’ai totalement accepté cette fessée librement consentie, je me suis abandonnée entièrement, je me suis relâchée, j’ai dit :

« Oui, oh oui. »

 

Il a ralenti la fessée, il m’a caressée les fesses doucement, là où c’était le plus sensible, puis il a mis son doigt dans mon vagin et a testé l’humidité ambiante. Il a été très content du résultat. Il m’a demandé de lui réciter la règle des 4 :

« La règle est "rosor, calor, dolor, tumor», la rougeur, la chaleur, la douleur, et le gonflement. »

« Est-ce le cas ici ? »

« Oui, je présente bien les 4 signes : rougeur, chaleur, douleur et gonflement des fesses. »

« Bien. »

 

Il a sorti un gode de sa poche (nous en avions parlé au restaurant) et me l’a enfoncé délicatement à la place de son doigt. J’ai apprécié son geste, j’ai gémi de plaisir. Il m’a dit que ce n’était pas encore fini, que je le savais. J’ai répondu :

«  Oui, vas-y. »

 

Il m’a frappé plusieurs fois de suite avec une forte intensité. Puis il s’est arrêté d’un coup, il m’a désimmobilisé de son autre bras. Je suis restée sur ses genoux et il a fait bouger le gode en moi. Puis il m’a demandé de me relever, de me déshabiller comme prévu et de le sucer. J’avais les fesses rouges, douloureuses mais j’étais bien. J’ai enlevé ma tenue que j’ai envoyé valdinguer au loin. Puis, Je me suis agenouillée, j’ai sorti son sexe du pantalon et je l’ai pris dans ma bouche. J’adore sucer, mais après une fessée, c’est encore plus jouissif de se sentir nue, dans une autre position humiliante à s’occuper de l’autre, alors que j’ai le sexe en feu qui attend sa récompense. J’avais le gode mais je ne pouvais pas le faire bouger avec les mains car je les avais autour de son sexe, aidant ma langue. C’était ma façon de le remercier, je lui en avais précisé les termes au resto. Il m’a dit :

«  Assez, relève-toi pour le final. »

 

Je me suis retrouvée de nouveau sur ses genoux, mais nue, entièrement offerte à lui. J’étais excitée, mouillée, trempée, désireuse de poursuivre. Cette position me plaisait car j’étais soumise, humiliée, dominée. J’étais bien .Mon corps ne me m’appartenait plus. Ce n’était plus moi le chef de mon corps et de mon cerveau.

 

Il a commenté la couleur de mes fesses et a trouvé qu’elles avaient encore besoin d’une petite fessée. Il a réajusté le gode qui avait tendance à glisser tellement que j’étais trempée. Il n’a pas eu besoin de me tenir les mains qui essayent d’empêcher les claques. Je me suis laissée faire sans aucune résistance. J’étais vaincue. J’ai posé mes mains sur le sol et j’ai attendu. Il m’a d’abord caressé tendrement les fesses un petit moment. Puis, il a cessé et m’a demandé de lui dire ce qu’il me faisait. J’ai répondu qu’il me fessait à ma demande. Que c’était une fessée érotique, notre première fessée. J’étais toujours allongée en travers sur ses genoux, nue. Je trouvai agréable de parler ainsi dans une position inhabituelle sachant que cette première fessée allait s’achever dans une apothéose. Je l’ai alors supplié de le faire, de finir et non d’arrêter.

«  Tu vas avoir mal, très mal ! Dis-moi que tu le veux. »

« Je le veux. »

« Dis-moi, je veux que tu me fesses très fort pour finir. Je veux que tu me fasses mal. »

 

J’ai répété ses paroles. Il m’a demandé de le répéter plusieurs fois. Je n’en pouvais plus, je me sentais dégouliner de cyprine, j’étais excitée, j’avais chaud de partout. Je trouvais plaisant d’être allongée nue sur un homme vêtu. Je n’aurai pas trouvé concevable qu’il soit déshabillé. J’ai eu un orgasme violent et bon, j’avais les cuisses mouillées. J’ai cru mourir de plaisir.

 

Il s’en est rendu compte car je lui ai un peu imbibé la jambe de son pantalon. Alors, il m’a fessé de nouveau. Il m’a rapidement fait rougir les fesses. Toutes les sensations ont déferlé en moi, tout s’est mélangé, la douleur, le plaisir.

 

Quand il s’est arrêté définitivement pour cette première fessée, je ne m’en suis pas rendue compte de suite, tellement j’étais dans un tourbillon, une tempête de sensations multiples et contradictoires. Il m’a relevé, s’est relevé à son tour, m’a entraîné vers le fameux pouf sur lequel il m’a fait allonger, les jambes écartées. Il m’a ramené les bras en arrière et me les a lié avec un ruban. C’était juste symbolique. Il avait tout prévu pendant le temps que je l’attendais agenouillée, conformément à notre accord du restau.

 

Alors, il a baissé son pantalon et s’est mis sur moi pour me sodomisé. J’étais tellement excitée que j’étais bien ouverte et qu’il n’a pas eu grand chose à faire pour me pénétrer.

Par Essentiel - Publié dans : Textes d'ELLES
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