Je continue quelques secondes encore…
Je la retourne sur le dos et à l'aide d'une corde j'assemble ses cuisses aux chevilles comme si elle est à genoux sur le dos (pour l'image), puis relis ses mains à chaque cheville.
Il lui est impossible de fermer les cuisses maintenant.
A l'aide de 6 pinces posées sur ses lèvres vaginales (3 par lèvres), j'étire ses lèvres avec une corde qui passe dans la partie centrale de chaque pince… Cette cordelette est reliée à ses cuisses. Plus elle va écarter les jambes plus cela étirera ses lèvres. Je suis là aussi pour l'obliger à s'ouvrir encore plus.
Je peux maintenant voir ses chairs l'intimité la plus secrète de sa chatte, son clitoris, l'entrée du vagin complètement lubrifié par mes caresses.
J'ouvre mon pantalon et la pénètre violement, je sais que les pinces l'ouvriront quoi qu'elle fasse et que mon corps va aussi l'empêcher de se refermer… Elle doit être prise comme elle n'a jamais dû l'être.
Bien au fond je lui laisse apprécier cette pénétration, sans bouger le bassin je m'amuse avec ses seins.
« ‘Je suis dans ta chatte, chienne... »

La position est inconfortable, je ne peux plus bouger à part si je veux écarter encore plus ma chatte à cause des pinces et c'est un peu douloureux mais mon désir, mon plaisir et mon excitation à cause de toutes ces jouissances successives font que j'en oublie tous ces inconvénients…
Et quand Il me pénètre si brutalement, il écarte encore plus ma chatte entière au maximum d'un seul coup à cause des 6 pinces et pas seulement mon vagin, la sensation est étrange mais extrême, la pénétration ne m'a pas fait mal étant tellement mouillée c'est l'écartèlement total de ma chatte que je n'ai jamais expérimentée… étrange à définir et extrême dans la sensation mais en tous cas cela me plaît.
Il reste en moi immobile et s'occupe de ma poitrine, mais je n'en peux plus… et quand Il se met à me dire cette phrase, je ne peux plus Lui résister, Il m'excite trop…
« Oh oui mon Maître, je Vous sens tellement profondément enfoncé en moi, c'est si bon… je Vous en prie, bougez Votre queue en moi, prenez-moi, je le désire tellement, pitié je veux la sentir faire des vas et vient en moi, j'en ai besoin, Votre chienne Vous supplie de la baiser comme elle le mérite mon Maître… » 

Lentement je commence la cadence allant au fond !
Je ne peux retenir plus mon plaisir au bout de quelques aller retour... j'éjacule et m'écroule sur elle envahit de mille sensations...
Lorsque je reprends mon contrôle.
J'enfonce mon sexe diminué et plein de ma semence et de sa cyprine dans sa bouche.
« Laves le sexe de ton Maître. »

Son sexe dans ma bouche, je commence à passer ma langue tout autour, sentant à la fois le goût de ma mouille et celui de Son sperme, j'avale peu à peu le mélange, puis termine par quelques mouvements de sucions avec ma bouche entière pour qu'il ne reste aucune trace de nos deux semences sur Sa verge, remplacées par ma salive...
Je la retire alors de ma bouche en serrant légèrement mes lèvres pour que ma salive disparaisse elle aussi le plus possible et qu'ainsi Sa queue soit tout à fait nette.
« Merci Maître. »

« Merci... »
Une à une je supprime les pinces... La douleur lorsque le sang reprend son chemin dans les vaisseaux. Je masse en lui donnant des mots de réconfort !
« C'est bien tu deviens une bonne chienne. »
Puis je passe une pommade sur ses lèvres.
Le bâillon cercle est ôté...
Puis le plug dans son anus. Doucement je fais attention à ses réactions.
Son anus reste ouvert encore quelques instants comme s'il en voulait encore... Petit à petit les muscles anaux referment le sanctuaire !
Encore attachée, je la regarde comme une sculpture que je viens de créer.
Je la libère des cordes.
« Tu vas apprendre la nudité, tu dois toujours être prête à me recevoir où je veux et comme je veux... »
Leger sourire.
« A partir de maintenant tu peux te promener où tu le souhaite dans cette maison ou dans le parc. Les murs te protègent des regards pas de moi. »
Caresse sur la joue.
« Tu n'as plus le droit de porter de vêtement au sein de cette propriété. »
Caresse sur le sein.
« Maintenant tu es "libre" de faire ce que tu veux pendant 4 heures... »
Une claque sur ses fesses.
« Détail les sous sol te sont interdit sans ma présence. Rappelles toi de Barbe bleue... »
Clin d'œil.
« Aller vas ! »

« Oui Maître, merci Maître »
Mon corps est encore tout tremblant de l'expérience qu'il vient de vivre tout comme mon esprit d'ailleurs… Je quitte la pièce fébrilement, ayant 4 heures de liberté pour me remettre de toutes ces émotions, partagées entre les humiliations et les douleurs mais également les excitations et les jouissances…
Je fais quelques pas, arpentant quelques couloirs, puis m'assoies dos à un mur, les jambes repliées vers mon torses et mes bras les entourant, je suis en face d'une grande fenêtre de l'un de ces couloirs, je regarde les vent faisant bouger les feuilles des arbres et les oiseaux volés, je m'évade un petit moment comme ça, puis cela me donne envie d'y aller, de rejoindre cette nature quelques instants, pendant le court moment qu'il me reste de «libre» vu que j'ai le droit d'aller dans le parc, je me relève alors et me dirige moins fébrilement que tout à l'heure vers l'entrée de la maison, ma main vient se glisser sur la poignée de la porte et je l'entrouvre…  Soudain, je sens le vent sur tout mon corps entièrement nu, à part le collier en cuir, que je dois garder en signe de ma soumission envers Lui, je me souviens alors de cette nudité imposée par Lui et que je devrais toujours garder ici sur Son domaine. Je me dis alors qu'il faudra bien m'y habituer si telle est Sa volonté, alors j'ouvre entièrement la porte, Il avait raison les murs me protègent de tous les regards extérieurs, je sors alors sentant qu'il ne doit plus me rester tellement de temps et me ballade un peu tremblante et crispée dans le parc, de part ma situation insolite et un petit peu à cause du vent, sans avoir toutefois trop froid… 
Je me décrispe peu à peu lors de ma ballade, au rythme du chant des oiseaux et du bruissement des feuilles, je tourne ainsi un peu tout autour du parc, ne m'éloignant pas trop de la maison, restant disponible pour Lui au cas où Il voudrait de moi, qu'Il puisse me trouver rapidement…