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A Mon Maître,

 

Comme vous me l’aviez demandé,

Je suis descendue dans mon bureau,

J’y ai déposé les pinces, la boite à malice et votre cravache,

 Un peu à l’avance, pour ne pas être prise au dépourvu.

Mon sexe se contractait, l’attente commençait.

 Votre arrivée était prévue pour 20h ; j’y suis retournée à 19h55.

J’ai vérifié que tout était là.

Je me suis déshabillée lentement,

J’ai posé mes affaires sur une chaise.

 J’ai essayé la position que vous m’aviez prescrite.

Nue, les mains appuyées sur le bureau, cambrée, jambes écartées,

Les fesses face à la porte.

Je faisais des exercices pour ne pas avoir froid !

En me regardant dans cet endroit, instant surréaliste

De l’autre côté du bureau,

De l’autre côté du miroir,

Dans la situation

Et en dehors

De tous les temps,

Je me voyais dans mon fauteuil…

En face et habillée en directrice,

Mes pensées, mes émotions

Arrivant à 100 à l’heure,

Le temps de l’indécence,

Le temps du plaisir

De prendre et de donner.

Le bandeau sur le front, j’essayais la meilleure position ; je souriais,

 Je sentais mon sexe commencer à mouiller.

La porte s’est ouverte. Une main est venue le toucher.

Votre cuir, votre souffle, votre odeur, votre façon de me toucher.

 Vous.

Mon esprit et mon corps se sont envolés ;

 Je sentais les pinces serrer mes seins, un frisson parcourait mon dos.

 Des pinces sur les grandes lèvres, vos doigts froids sur mon sexe,

 Et la première vague de plaisir m’a envahie.

 Entre temps, vous me fessiez, votre cravache léchait mes fesses, j’avais mal, puis la douleur s’estompait et j’en voulais encore, sans pouvoir le dire.

 Vos caresses ajoutées m’ont fait jouir une deuxième fois.

Alors, un gode dans mon vagin, j’ai senti le Plug entre mes fesses.

 Mon cul restait serré, votre patience l’a ouvert pour vous.

Mon corps parcouru de spasmes répondait,

 La jouissance est montée,

J’aspirais à sentir votre sexe,

Je l’imaginais,

 Je le voulais dans mon cul, dans ma bouche,

 Et l’orgasme est arrivé incontrôlable, vite et fort,

 Votre main me maintenant le dos, pour que mes fesses se tendent encore vers vous.

Je n’ai pas pris le temps de vous dire « je jouis » alors,

 Vous m’avez cravaché.

Epuisée et excitée,

 Vous m’avez fait mettre à genoux,

Et tendu votre sexe vers ma bouche.

 Instant délicieux, apaisant cette envie de vous sentir,

Qui était dans mon esprit

En suspends…

En attente, comme une punition

Votre corps me parle

Mon corps vous parle

Votre odeur me transcende,

Vous reconnaissez la mienne,

 Comme j’aime sucer, téter votre sexe.

Comme j’aime boire votre semence.

Comme j’aime votre proximité.

Vous m’avez dit, cette pièce sent ton odeur

Et si vous êtes là, j’imagine que vous l’aimez !

 

Quel cadeau,

Merci, mon Maitre.

 

PaperArtist 2014-07-23 10-49-06

 

Le plateau d’huitres, l’humour, la nuit dans vos bras…

C’est la cerise sur le gâteau… sourire… comme j’aime tous nos instants.

Comme nos rencontres m’apaisent,

Comme j’aime votre signe,

Symbole universel et tellement personnel,

Encore et encore…


Merci, Mon Maître L***.

Par Essentiel - Publié dans : Textes d'ELLES
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