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Je n'ai pas de cheveux alors coupons les en 4 !

 

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Une chevelure blonde : symbolise l'hyper-féminité, l'innocence, le fantasme. C'est aussi une couleur qui connote avec l'or et le soleil, la pureté immaculée, la gentillesse, la fragilité, la séduction, l'élégance, le glamour hollywoodien, le pouvoir de séduction.

Une chevelure Châtain : Terne, banale, sans relief, elle représente cependant la stabilité, la compétence, la réassurance, la tendresse, le charme et la sérénité, le glamour et la sensualité.

Une chevelure Rousse : Sulfureuse, transgressive, incendiaire. Elle avait mauvaise réputation car Judas est souvent représenté sur les tableaux avec des cheveux roux. A la renaissance, une chevelure rousse était extrêmement féminine, chaleureuse, sexy et pleine de personnalité.

Une chevelure Brune ou Noire : Personnalité à fort caractère, explosive, ultra-sexy, vamp ou femme fatale, rapprochement avec les «bombas latinas, les italiennes, les beautés du cinéma asiatique».

 

 

Lorsque l'on parle de symbolique des cheveux, beaucoup font référence à l'histoire de Samson qui perdit toute sa force une fois ses cheveux coupés par sa Dalila bien-aimée.

On dit que la force physique de Samson résidait dans ses cheveux. Mais, lorsque ses cheveux repoussèrent, il retrouva sa force et renversa le temple de Dagon sur les Philistins, et sur lui-même.

C'est ainsi que l'on vient à parler de la force, de la virilité et du pouvoir à travers le monde, par les cheveux.

Au temps des pharaons, les perruques constituées de cheveux naturels, de laine et de fibres de feuilles faisaient fureur chez les Égyptiens. Leur degré de sophistication était directement proportionnel au rang social.

Au moyen-âge les cheveux longs étaient réservés aux rois et aux nobles.

AU XVIIIe Siècle, à la cour du roi, les cheveux étaient recouverts par une perruque. En la perdant, le roi de France perdait immédiatement sa royauté.

Chez les Amérindiens, le scalp de l'ennemi était un trophée1 (Atention petit bémol cette habitude n'est pas Amérindienne c'es les blancs qui ont commencés .

Les Romains infligeaient également la tonsure aux peuples vaincus.

Les forces armées d'aujourd'hui ont les cheveux rasés ou très courts.

Couper les cheveux d'un samouraï était le déshonorer et les castes administratives et militaires chinoises, coréennes, japonaises ont accordé une grande importance à la coiffure et longueur des cheveux.

Les envahisseurs mandchous ont ainsi imposé le port de la natte en Chine.

Les cheveux longs de la période Hippie ont été le symbole d'une rébellion contre l'ordre établi.

Voler les cheveux d'autrui permettait disait-on de faire des philtres d'amour ou d'envoûter.

Les cheveux ont un rapport très fort avec la séduction, l'intimité, la pudeur et la sexualité à travers la tricophilie2, la relation à l'autre à travers la chevelure (peigner, épouiller, couper) étant une marque d'affection.

Les gages ou promesses d'amour ont souvent été basés sur des mèches de cheveux.

Il fallait cacher ses cheveux perdus ou tombés pour empêcher que quelqu'un de malveillant puisse les utiliser pour jeter un sort.

Dans la Grèce antique, les jeunes filles portaient les cheveux longs, signe de leur virginité et de leur vigueur sexuelle. Lorsqu'elles se mariaient, elles coupaient leurs cheveux et les offraient à la déesse de la fertilité; c'est comme si elles redonnaient à la déesse ce qu'elles incarnaient dorénavant dans tout leur corps.

Aphrodite enveloppait sa nudité dans sa longue chevelure blonde. Vénus faisait sa toilette entourée de grâces mais s'occupait elle-même de ses cheveux. (même déesse ^^).

Ariane, dont la belle chevelure flottait au vent, contribua probablement au coup de foudre qui s'empare de Bacchus à sa vue. (ou Dionysos suivant vos critéres ^^).

Il est courant qu'une femme amèrement déçue de ses relations amoureuses réagisse en se coupant les cheveux très court, comme pour renoncer aux jeux de séduction.

 

 

Vous êtes vous demandés pourquoi les moines étaient dégarnis sur le haut du crâne ? Les moines chrétiens s'imposent la tonsure en signe de renoncement aux plaisirs charnels et à leur sexualité.
Les tontes pratiquées autrefois dans les couvents avaient également pour but d'ôter tout attrait aux nonnes, en les assexuant.


Les femmes pratiquantes, elles, devaient se couvrir la tête avant d'entrer à l'église, afin de ne pas provoquer l'envie des anges. Encore aujourd'hui, certaines musulmanes cachent leurs chevelures.


Chez les Grecs, l'offrande suprême consistait dans le don de sa chevelure aux dieux.

C'est ainsi que Bérénice consacra une boucle de ses cheveux à Aphrodite afin que son époux Ptolémée III revienne vivant de la guerre de Syrie.

Les dames grecques faisaient de même vis-à-vis d'Asclépias, dieu de la Médecine, pour obtenir la guérison de certaines de leurs maladies.

En Egypte, les prêtres d'Isis se rasaient pour manifester leur détachement.

Les Musulmans conservaient au sommet de leur crâne une mèche de cheveux dont se servait Mahomet pour les transporter au paradis.

Pour les Hindous, le monde est couvert d'une immense chevelure, infiniment filée.



Sur le plan psychologique, nos cheveux sont le reflet direct de nos états émotifs.

Ils sont directement affectés par les événements marquants de notre vie : « le cheveu est le fil de l'âme ».

C'est pourquoi, lors d'un bouleversement dans notre vie, comme un échec sentimental ou professionnel, nous ayons envie de changer de coupe de cheveux... On se dit que cela nous permettra de repartir de zéro.

Dans cette même psychologie du cheveu, une femme qui change souvent de coupe de cheveux est une façon de se « chercher » alors qu'une femme qui a toujours gardé la même coupe de cheveux est une personne qui est en accord avec elle-même.

Cependant, cela peut aussi cacher la peur de la nouveauté.

Tout comme les femmes, les hommes vivent les mêmes phénomènes.

Cependant, certains hommes perdent des cheveux qui ne repoussent pas et provoque des calvities. Ces hommes sont nombreux à ne pas l'accepter... Ca peut être génétique, hormonal et/ou le stress.


Car un homme avec des cheveux est aussi symbole de virilité et de jeunesse. Même une femme va préférée un homme avec des cheveux plutôt que sans!


Depuis la nuit des temps, les cheveux longs sont chargés d'une dimension charnelle et érotique. C'est la raison pour laquelle durant des siècles, la religion interdisait aux femmes de sortir tête nue.

Même encore aujourd'hui pour certaines femmes, elles doivent dissimuler leurs cheveux et le pouvoir de séduction qu'on leur attribue. C'est pourquoi couper ou tondre les cheveux féminins a été pratiqué dans le but d'humilier, de mutiler la femme de ce qui la caractérise. Lors de la Libération, les françaises qui avaient eu des relations avec des allemands, ont ainsi connu le supplice du crâne rasé.

En désordre, épars, ils véhiculent une image de force, de dynamisme.
Ils sont aussi connotés de passion, voire d'un aspect de rébellion, désir de liberté à tout prix, anticonformiste.


Synthése du blog de Mathilde. ici


 

Interpréter les différentes coiffures
En désordre, épars, ils véhiculent une image de force, de dynamisme. Ils sont aussi connotés de passion, voire d’un aspect de rébellion, désir de liberté à tout prix, anticonformiste.

Bien coiffés, ils révèlent généralement une personne dont les comportements instinctuels sont bien gérés.

Serrés, attachés, style chignon, ils évoquent plutôt quelqu’un de coincé à ce niveau, ou qui souhaite faire un effort conscient de contrôle de ses énergies.

Les cheveux bouclés, représentent le désir de plaire et paraître, mais évoquent aussi de façon imagée, le bourgeonnement spirituel, mental.

Le front découvert, coiffé vers l’arrière marquerait la volonté d’aller de l’avant, il s’agit souvent de personnes qui n’ont pas peur d’affronter la vie ni le regard des autres.

La raie au milieu, volonté d’équilibre intérieur. La raie à gauche : tentative de couvrir le féminin en soi, à droite : difficulté à accepter le masculin en soi.

La frange, la peur de se dévoiler ou une certaine timidité. Longue, épaisse, effilée, chaque type de frange évoque le niveau de besoin de protection.

La nuque dégagée, partie cachée, représente le soi-profond. En la dévoilant, on se montre tel que l’on est.

Les tempes dégagées, synonyme d’ouverture, permet d’agrandir son regard sur soi ou sur le monde. Tempes couvertes, personne qui a du mal à se dévoiler.

 



Les expressions liées aux cheveux

    « Tiré par les cheveux », explication a priori peu crédible.
    « Couper un cheveu en quatre », avoir le souci du détail.
    « S’arracher les cheveux », être furieux, désespéré.
    « Faire dresser les cheveux sur la tête », faire frémir.
    « Se faire des cheveux blancs », se faire du souci.
    « Comme un cheveu sur la soupe », à l’improviste.
    « S’en falloir d’un cheveu », à deux doigts de se produire...
    « Cheveux au vent », etc.
    « Avoir un cheveu sur la langue », zézayer, zozoter.



 

1) La pratique de la prise de scalp apparaît clairement depuis des temps reculés chez certaines tribus de natifs Américains, comme en témoignent de nombreuses découvertes archéologiques ou témoignages historiques.
La géographie de ce type de pratique permet de constater que la scalpation n’est pas une spécificité de l’Amérique sauvage. Le Vieux Continent l’a pratiquée. La première mention connue est celle d’Hérodote qui souligne l’existence de la scalpation chez les Scythes en 440 avant notre ère. Il décrit des guerriers emportant en guise de trophée le cuir chevelu arraché à la boîte crânienne de l’ennemi[1]. Cette pratique d’arracher « la peau du crâne avec sa chevelure » est reprise par les Lombards, peuple germanique.
Les Amérindiens pratiquent pourtant ce rituel bien avant l’arrivée des Blancs.
L’archéologie fournit des preuves irréfutables puisque des sites préhistoriques situés le long des fleuves Missouri et Mississipi ont par exemple révélé des crânes portant des marques distinctes et sans ambiguïté de la scalpation. Avant l’introduction du couteau par les Européens, les Indiens se servaient d’une simple pierre taillée pour prendre les scalps. (Aller plus loin ?)

 

2) La tricophilie est une paraphilie dans laquelle un individu est sexuellement attiré par la pilosité humaine ; plus communément les cheveux selon la classification DSM.
L'excitation sexuelle peut survenir en observant, touchant ou mangeant tout type de poils incluant notamment les cheveux, les poils pubiens ou la fourrure.
Le fétichisme des cheveux est une paraphilie connexe dans laquelle un individu est sexuellement attiré par leur propre coupe de cheveux, en coupant ceux des autres, en regardant d'autres individus se faire coiffer ou en observant quelqu'un ayant une coupe de cheveux longs, courts ou rasée. En même temps que cet attrait préférentiel pour un type de coiffure ou de cheveux particulier, s'il s'agit d'une femme hétérosexuelle, elle peut aussi avoir une préférence bien précise quant au reste de la pilosité corporelle qu'elle préfère (barbe, moustache ou visage complètement rasé) et/ou absence ou présence de poils sur le torse.

Par Essentiel - Publié dans : Jeu de l'oie
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