Connaissez vous la differense s'il y en a une ?
Sabrer le champagne puis sabler le champagne ?
Pourquoi ne peut-on sabler le champagne avant de le sabrer ?

Ces deux termes ne visent finalement pas la même action.

On peut sabrer le champagne avant de le sabler¹ (pas le contraire, bien que...). Même si cela est sans doute dommage dans les deux cas, quantitativement puis qualitativement !

L'expression, « Sabler le champagne » signifie boire rapidement du champagne pour célébrer un événement.

Autrefois, ce verbe s'appliquait à tous les vins, avec le sens de vider son verre rapidement dans son gosier, par analogie avec de la matière en fusion que l'on verse dans un moule en sable fin. Il faut rapidement faire couler la matière en fusion pour assurer la qualité de l'objet. Il s'agit d'une métaphore pour signifier la rapidité d'une action ; « de même qu'on jette précipitamment une matière première dans un moule, on jette le vin dans le gosier » (Dictionnaire de la langue française ancienne et moderne de Pierre Richelet de 1728).

Voilà donc comment on vide rapidement une bouteille, fût-elle de champagne !
L'expression demeure de nos jours, exclusivement pour le champagne, et ayant perdu au fil des ans sa notion d'ingestion goulue pour ne garder que le fait de se délecter de ce breuvage.

Il existait aux XVII^e et XVIII^e siècles une acception différente, où sabler signifiait « mettre au frais », qui apparaît notamment dans le Dictionnaire de l'Académie de 1664.

Contrairement à ce qu'il est dit parfois, l'expression ne désigne pas l'habitude prise autrefois par les aristocrates russes d'adoucir le champagne -- qu'ils trouvaient trop sec -- en déposant dans leur verre du sucre en poudre qui se dissolvait dans le vin tout en faisant plus de mousse.

Mais pour s'en délecter, encore faut-il avoir ouvert la bouteille ! Et c'est là qu'apparaît la notion de « sabrer le champagne »…

 

L'expression, « Sabrer le champagne » est une tradition qui remonte à l'époque napoléonienne. On se doit d'être viril, on agit « à la hussarde² »… Pourquoi perdre du temps pour ouvrir une précieuse bouteille, alors qu'un ample geste solennel peut donner du relief à cette activité ?
Le « briquet », petit sabre de l'infanterie napoléonien, mais aussi toute autre épée peut bien faire l'affaire…

La bouteille tenue par son corps, paume en dessous, d'une main ; la seconde armée d'une lame glisse le long du culot, et d'un coup sec, du revers de la lame, vient heurter le goulot : la bague de la bouteille, sous le choc associé à la pression interne de la bouteille, casse net et s'éjecte, avec le muselet et le bouchon. La prudence élémentaire incite à viser une zone démunie de tout personne ou objet fragile ! Il y a souvent un dommage collatéral, vous perdez en quantité de boisson ce que vous gagnez en prestige et solennité.

La brisure étant nette, il est censé n'y avoir aucun risque de trouver des éclats de verre dans le champagne, mais songez tout de même à vérifier avant de servir vos invités !

Cette tradition perdure notamment dans les armées, cavalerie, et diverses écoles militaires. Puisqu'il faut bien, pour agir dans les règles, être doté d'un sabre ou d'une épée, ce qui n'est pas (plus) toujours le cas. Il ne vous reste plus qu'à vous délecter de ce qu'il reste de vin, mousse et bulles dans la bouteille ainsi décapitée.

Maintenant Sablons à la hussarde nos compagnes.

1) Sabler le champagne : boire du champagne pour célébrer un événement.

 - Sablage industriel : Le sablage est une technique industrielle de nettoyage des surfaces en utilisant un abrasif projeté à grande vitesse à l'aide d'air comprimé au travers d'une buse, sur le matériau à décaper.

 - Sablage des routes : Le sablage des routes en hiver permet d'augmenter leur adhérence quand elles sont couvertes de verglas; d'une part, lorsqu'un poids (véhicule, piéton) s'exerce sur un grain, la force est concentrée sur l'aspérité, induisant une pression très grande ; or, à haute pression, l'eau est liquide (la glace occupe un volume plus important que l'eau liquide à 0 °C en raison de sa structure cristalline), donc la glace fond localement, d'autre part, les grains de sable étant foncé, il chauffent plus au soleil et participent donc à la fonte en redissipant l'énergie solaire (qui sinon est réfléchie). Pour cet usage, on préfère utiliser du sable artificiel, dont les aspérités se prêtent mieux à cet usage.

2) A la hussarde... une posssition proche de la levrette, sauf que l’homme se trouve debout et la femme repliée sur elle-même. Cette position est une position où la femme est encore plus soumise que dans la levrette traditionnelle. Elle peut aussi s’appeler la levrette surélevée.

Donc vous pouvez la pratiquer avec madame sur une table mais aussi sur un lit, si il est assez haut. Voire même une chaise très haute, ou un meuble, un mur, bref je laisse libre court à votre imagination...

Prévoyez néanmoins des coussins si vous désirez prolonger l’acte car la femme peut avoir les genoux qui sont irrités, attention aussi à la tête. Elle peut se tenir aux rebord de la table mais les coups de boutoirs de son partenaire peuvent la déstabiliser.

L’homme voit le dos, les reins de sa partenaire et il la tient fermement par la taille. Cette posture favorise un coït assez brutal. Nous ne sommes pas dans un rapport tendre et romantique mais plutôt dans une liaison bestiale bien que avec tendresse aussi...

La pénétration est assez facile bien que les cuisses de la femme ne soient pas ouvertes. L’homme peut voir ce qu’il fait, ce qui est toujours très excitant pour lui. De nombreux hommes aiment regarder leur sexe aller et venir dans celui de leur partenaire.

Evidemment cette position est tout à fait adaptée à la sodomie.